samedi 31 mai 2008

Mozilla veut un record Guinness

Mozilla veut un record Guinness
La fondation Mozilla désire établir le record Guinness du plus grand nombre de téléchargements en 24 heures pour un logiciel lors du lancement de son navigateur Web Firefox 3.
29 mai 2008, par Maxime Johnson


Si aucune date n'a pour le moment été confirmée pour le lancement du fureteur (Mozilla espère pouvoir offrir la version définitive de Firefox d'ici la mi-juin), un nom a toutefois été dévoilé pour ce lancement: «Download Day», le jour du téléchargement!

Pour établir le record Guinness du plus grand nombre de téléchargements, Mozilla encourage notamment ses fans à organiser des fêtes pour télécharger le navigateur avec leurs amis et collègues (!) et à afficher des icônes «Download Day» sur leurs sites Web pour rappeler l'évènement à leurs visiteurs.


http://www.lebardeswareziens.net/doc5img/mozillapartyhead.jpg


Le site Web Mozilla Party Central a même été lancé pour permettre aux amateurs d'enregistrer leur fête ou d'en trouver une près de chez eux.

Pour le moment, aucun record Guinness n'a été établi quant au plus grand nombre de téléchargements en 24 heures.

Rappelons qu'une version de Firefox 3, qui devrait apporter 15 000 améliorations à Firefox 2, dont une meilleure utilisation de la mémoire et une meilleure gestion des téléchargements, est disponible pour évaluation.


Dire qu'il ya du porno sur les newsgroups est illégal en Allemagne

Dire qu'il ya du porno sur les newsgroups est illégal en Allemagne
Pas de Sexe sur les newsgroups !
29 Mai 2008, par Guillaume Champeau


En ces temps de chasse aux internautes sur les réseaux P2P, les fournisseurs d'accès aux newsgroups espèrent bien capter un marché en pleine croissance. Mais tous marchent sur des oeufs, car la loi leur interdit de faire la promotion des nombreux contenus piratés disponibles sur les newsgroups. Ils doivent se contenter de suggérer, en mettant en avant la grande rapidité des téléchargements, et en précisant qu'on peut trouver sur leurs serveurs des films, jeux vidéo, logiciels ou albums par milliers. Mais attention, pas de pornographie.

Car l'Association allemande des vidéoclubs a trouvé une parade juridique astucieuse pour déplacer le débat ailleurs que sur le terrain du droit d'auteur, et obtenir la condamnation de Usenext, l'un des principaux fournisseurs du marché. Selon Spiegel Online, un tribunal de Munich aurait accepté de condamner le prestataire au motif qu'il faisait explicitement allusion à la présence de contenus érotiques ou pornographiques disponibles sur les newsgroups, soit directement, soit à travers ses programmes d'affiliation. Or la loi allemande qui protège les mineurs oblige les services en ligne de contenus pornographiques à s'assurer par courrier que leurs clients sont âgés d'au moins 18 ans. Le fait de faire la promotion de la présence de contenus porno sur les newsgroups sans vérifier l'âge des utilisateurs serait ainsi illégal, a jugé le tribunal.

Le directeur de Usenext Wolfgang Oswald prévient qu'il compte faire appel de la décision, car il considère que ce sont ses partenaires d'affiliation qui ont fait la promotion de la présence de contenus pornographiques sur le réseau Usenet, et non pas sa société. Or avec plus de 20.000 affiliés, il est impossible selon lui d'être responsable de la politique de communication de chacun d'entre eux. L'argument est logique. Cependant, sur son propre site, Usenext ne se cache pas tellement de la présence de contenus pornographiques ou érotiques, comme en témoignent ces deux captures d'écran du logiciel qu'il propose à ses clients :


http://www.numerama.com/media/attach/UN_6.jpg
http://www.numerama.com/media/attach/UN_1.jpg



NDBJ : Alors quid des pubs ‘Meetic’ dont nous a gratifiés certaine board hébergée un temps en Allemagne ?

PagesJaunes fait condamner Xentral et Annuaire Universel

PagesJaunes fait condamner Xentral et Annuaire Universel
On s'appelle ?
29 mai 2008, par Nicolas.G


PagesJaunes vient de rendre public, dans un communiqué, la condamnation par le Tribunal de Grande Instance de deux sociétés : Xentral et L'Annuaire Universel.

Ces dernières s'en sortent avec 150 000 euros de dommages et intérêts à verser, ainsi que l'interdiction de se servir, ou de se resservir, de la marque PagesJaunes, suite à l'utilisation frauduleuse de sites pagesjaunes.com, pagesjaunes.net et pagesjaunes.biz, qu'elles avaient indûment créés. Une astreinte quotidienne de 5 000 euros pèse sur les deux sociétés tant que les sites — encore en ligne quand nous écrivons ces lignes — sont actifs.


http://www.lebardeswareziens.net/doc5img/57941-pagesjaunes-fr.jpg


Un porte-parole de PagesJaunes explique que « cette décision marque un coup d'arrêt à des procédés qui duraient depuis des années. Jusqu'ici les sociétés Xentral et L'Annuaire Universel faisaient comme si les précédentes décisions de justice, qui avaient confirmé intégralement les droits et les positions de PagesJaunes, n'existaient pas ».

S'appuyant sur la notoriété de l'annuaire, les deux entreprises en ont profité pour créer des sites usurpant, de façon à peine voilée, l'identité de la marque PagesJaunes. Voilà trois ans, la cour d'Appel avait donné gain de cause en affirmant l'appartenance de la marque PagesJaunes. Fin 2007, la cour européenne avait également prévenu Xentral qu'il n'était pas question d'enregistrer le site pagesjaunes.com pour l'UE, puisque cette démarche générerait une confusion en France avec la marque.

La MPAA est multimillionnaire !

La MPAA est multimillionnaire !
Après sa victoire contre TorrentSpy, la MPAA continue d'encaisser les millions de dollars avec deux nouvelles victimes à son tableau de chasse.
25/05/2008 par Jérôme G.


La Motion Picture Association of America qui défend les intérêts de l’industrie cinématographique sur le territoire américain, est en train de gagner le jackpot judiciaire suite à plusieurs actions intentées à l’encontre de divers sites proposant des liens menant directement ou indirectement vers des copies pirates de films.

En début de mois et après une bataille épique, c’est l’annuaire de liens torrent TorrentSpy qui a été condamné à 110 millions de dollars de dommages et intérêts pour infraction aux droits d’auteurs de milliers de films et shows TV. Dans la foulée, la MPAA vient de communiquer sur deux nouvelles affaires où elle est encore une fois sortie vainqueur (les studios qu’elle représente). Les chiffres sont sans commune mesure avec TorrentSpy mais on parle encore de millions de dollars à débourser pour les condamnés.

Plus de 114 millions de dollars récoltés en mai

Le 7 mai, un juge fédéral a condamné le site Cinematube à 1,375 million de dollars de dommages et intérêts tandis que le 20 mai, c’est le site Showtash qui a connu pareil sort, 2,765 millions de dollars. Les actions en justice ont respectivement été engagées en juillet et septembre 2007 pour la mise à disposition de liens pointant vers 55 et 108 titres piratés.

" Notre but est de mettre un terme à ce genre d’activités illégales. Ces jugements démontrent que les studios n’hésiteront pas à poursuivre sans relâche ce type de sites ", a déclaré l’un des responsables de la MPAA. L’association chiffre à plus de 18 millions de dollars le manque à gagner pour l’industrie cinématographique imputé à la diffusion illégale sur Internet et aux copies illicites.

1.830.000 euros de dommages et interets et prison fermes pour des contrefacteurs

1.830.000 euros de dommages et interets et prison fermes pour des contrefacteurs
Démantèlement d’un réseau de contrefaçons de licences, l’UNIFAB félicite Microsoft des résultats obtenus auprès de la Cour d’appel de Paris.
Zataz le 29-05-2008, par Damien Bancal


L’Union des Fabricants, dont un des adhérents principaux, Microsoft, lutte, sans relâche, dans le secteur sensible des logiciels, contre les copies de ses produits, salue la décision du 26 mai de la Cour d’Appel de Paris (13ème chambre) lui accordant 1.830.000 euros en réparation des préjudices et manques à gagner engendrés par l’activité d’un réseau de fournisseurs et de distributeurs de produits informatiques contrefaisants.

Cette décision fait suite aux peines d’emprisonnement fermes prononcées en 2005 à l’encontre des responsables : deux ans dont 20 mois avec sursis pour les fournisseurs ; deux ans dont 18 mois avec sursis pour les distributeurs.

Dans cette affaire, l’enquête a révélé un véritable marché parallèle qui a prospéré pendant plus de 3 années grace à de fausses licences d’utilisation Microsoft et à plus de 200 000 fausses pochettes Microsoft …Les contrefacteurs reconditionnaient des produits authentiques, mais d’entrée de gammes, achetés auprès de grossistes agréés, pour soit disant les transformer en produits présentés comme plus élaborés et donc plus chers, trompant ainsi revendeurs et clients. L’écoulement s’effectuait auprès de revendeurs informatiques qui les diffusaient sur des parcs informatiques d’entreprises dépourvus des droits d’utilisation appropriés.

«L’Unifab salue l’application par la Cour d’Appel de Paris de la loi du 29 octobre 2007 qui permet désormais l’appréciation des dommages et intérêts rendant ainsi compte des dégâts causés par la contrefaçon. Cette décision intervient alors qu’une étude récemment publiée par la Business Software Alliance désigne la France comme le mauvaise élève de l’Europe avec un taux de piratage de 42 % des logiciels à usage professionnel », déclare Marc-Antoine Jamet, Président de l’Unifab.

Piratage - Pascal Nègre : "Je ne cherche pas à attaquer les internautes"

Piratage - Pascal Nègre : "Je ne cherche pas à attaquer les internautes"
Interview - Pour LCI.fr, le PDG d'Universal, Pascal Nègre, défend la prochaine loi contre le piratage et revient sur son image de "grand méchant".
"Les ayants droit et les Français sont sur la même longueur d'onde", se réjouit-il après la publication d'un sondage.

TF1 29/05/2008, par Olivier LEVARD


Pascal Nègre contre-attaque. Avec la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP), le bouillonnant patron d'Universal publie un sondage selon lequel les Français ne sont pas aussi hostiles qu'on veut bien le croire à la future loi sur le piratage que les majors réclament à cor et à cri.

Selon l'enquête de l'Ifop commandée par le SCPP, 88% des Français ayant déjà téléchargé illégalement de la musique ou des films cesseraient même de le faire s'ils recevaient deux messages d'avertissement, ce que prévoit la loi. "Les Français ont bien compris l'esprit de la future loi, qui entend faire en priorité de la pédagogie et limite la répression à de simples suspensions temporaires d'abonnement Internet, réservées de surcroît aux fraudeurs endurcis", s'est déjà enthousiasmée dans la foulée la ministre de la Culture, Christine Albanel, qui portera prochainement le projet à l'Assemblée.

Quelques jours après la pétition contre la loi lancée par le mensuel SVM, Pascal Nègre commente ce sondage qu'il juge encourageant. Dans le hall de l'Olympia, le patron d'Universal revient pour LCI.fr sur la controverse autour du texte, son pontentiel contre le piratage, et même sur son image de "grand méchant patron" auprès des internautes.

LCI.fr : Il y a déjà eu de nombreuses offensives contre le piratage en France. Pourquoi pensez-vous que la prochaine loi est "la bonne"?

Pascal Nègre, PDG d'Universal : Parce que tout à coup, il y a une sorte d'adéquation entre une filière - celle du disque, du cinéma, de la télévision et mêmes les fournisseurs d'accès - et l'avis des Français. Notre sondage le montre, grosso modo 80% des Français, et même ceux qui téléchargent illégalement, nous disent : "Eh bien oui, il faut payer les artistes, les auteurs, les compositeurs". 74% nous disent : "Eh bien oui, cette loi, elle n'est pas idiote, vous allez nous envoyer des messages et, effectivement, on arrêtera de télécharger illégalement au bout de deux". Ce sondage est apaisé : les ayants droit et les Français sont sur la même longueur d'onde. L'idée de la loi est de dire : "Si vous recommencez trois fois, on va vous couper l'accès à Internet". Pendant une période, une courte période, vous n'aurez plus accès à internet. Comme lorsque vous perdez tous vos points avec votre permis de conduire, vous n'avez plus accès à votre bagnole.

LCI.fr : Certains s'y opposent toujours. C'est inévitable?

P. N. : Bien sur, il y en a encore 10% qui disent : "Jamais, vous pouvez m'envoyer tous les messages de la terre, je continuerai à pirater, je vous emmerde". Bon, très bien. Mais globalement, il se passe quelque chose de très intéressant.

LCI.fr : Des hommes politiques et des spécialistes du Web signent pourtant dans SVM une pétition hostile aux accords Olivennes à la base de la loi. Il y a déjà 10 000 signataires...

P. N. : Je n'ai pas dit que 100% des Français étaient derrière cette loi.

LCI.fr : C'est donc une "minorité agissante" ?

P. N. : Voilà, oui, c'est ce que nous indique le sondage...

LCI.fr : Qu'est-ce que vous inspire, malgré tout, cette pétition ?

P. N. : Je remarque qu'il n'y a pas beaucoup d'artistes, parce qu'ils sont conscients du fait que cette loi est dédramatisante. Elle permet d'abord d'informer, de sensibiliser, d'envoyer des messages, ce que l'on fait dans les autres pays depuis cinq, six ans... D'ailleurs, c'est sûrement pour ça que le business du téléchargement légal est beaucoup plus développé en Angleterre et en Allemagne qu'en France. Chez eux, il y a déjà eu ces envois massif d'e-mails : "On vous a repéré, vous n'avez pas droit de télécharger illégalement".

LCI.fr : Selon un extrait de la pétition, "La surveillance sans pareille des activités des internautes que ces mesures impliquent n'est pas digne d'une société dans laquelle nous aimerions vivre". Qu'en pensez-vous?

P. N. : Mais il n'y aura aucune surveillance des internautes ! Ce que l'on va surveiller ce sont les œuvres. Cela existe déjà, cela a été approuvé par la CNIL. Elle avait dit non dans un premier temps et cela avait été cassé par le Conseil d'Etat. Si on lui demande son avis sur le projet de loi, elle va probablement dire qu'elle est contre, mais c'est simplement le même mec qui va dire la même chose. Ce système existe pourtant partout en Europe où ce sont directement les opérateurs privés qui envoient les e-mails d'avertissements. Ici, cela va passer par une haute autorité qui protége l'internaute, plus qu'à l'étranger.


http://www.lebardeswareziens.net/doc5img/PascalNegre2.jpg


LCI.fr : Le combat autour de cette loi se résume donc à une bataille "lobby contre lobby"?

P. N. : Pas du tout. On nous dit qu'on appartient au passé, qu'on est rétrogrades, mais c'est simplement une attaque politicienne de députés de gauche qui pensent qu'en termes d'image, c'est chic et branché de dire que les jeunes ont raison. En même temps, les jeunes nous disent maintenant eux-mêmes : "Eh bien oui, sifflez la fin de la récré!".

LCI.fr : L'idée d'une licence globale qui aurait permis à chacun d'accéder sans limite à la culture n'a jamais vu le jour. Quelle alternative proposent les majors?

P. N. : Donner l'accès aux catalogues, c'est une idée que l'on partage. Notre réponse à la licence globale, c'est l'abonnement. Simplement, on n'est pas pour la licence globale qui est une forme de taxe. Vous pouvez maintenant choisir un abonnement à un prix déterminé avec ceux qui le proposent.

LCI.fr : Universal s'en sort globalement beaucoup mieux que ses concurrents qui ont parfois annoncé plusieurs plans sociaux. Comment l'expliquez vous?

P. N. : Sûrement parce qu'on est plus agressifs sur tout ce qui se fait sur Internet. Universal est souvent le premier sur les nouveaux modèles qui émergent. La première plateforme de téléchargement légal, c'est nous. On a aussi été très actifs sur la téléphonie, avec Universal Music Mobile, en 2001 ou les forfaits de titres. Nous sommes aussi les premiers à proposer nos catalogues avec un fournisseur d'accès, Neuf Cegetel, ou encore à avoir signé avec Dailymotion il y a bientôt un an et demi. Nous venons aussi de lancer la carte SoMusic avec la Société Générale (Voir notre article). A terme, le but c'est que l'ensemble des catalogues, pas seulement ceux d'Universal, soient présents sur l'ensemble des offres.

LCI.fr : Vous n'avez pas apprécié un article publié récemment sur notre site. Vous niez avoir "mangé votre chapeau" dans l'affaire Deezer comme nous l'écrivions....

P. N. : C'est en effet faux, je n'acceptais simplement pas qu'on mette en ligne notre catalogue sans signer de contrat. Si on a mis du temps a signer avec Deezer, c'est qu'on était absolument pas d'accord avec la technologie qu'ils utilisaient au départ car c'était une machine à pirater. Aujourd'hui, vous ne pouvez plus y télécharger les fichiers ou vous connecter à partir de n'importe quel pays. On a donc été les premiers à signer pour une quarantaine de pays car, technologiquement, on était rassurés.

LCI.fr : Vous êtes devenu un symbole de la lutte contre le piratage. Comment l'expliquez-vous?

P. N. : Il se trouve que j'ai été le premier à être convaincu qu'a partir du moment où vous pouvez télécharger un titre gratuitement, vous le faites. Tant qu'on ne transforme pas la "musique gratuite" en "musique gratuite mais risquée", vous allez continuer, ça me parait normal. Cela fait maintenant 14 ans que je dirige Polygram, devenu Universal, je suis donc aussi le PDG qui est là depuis le plus longtemps pour parler de piratage. Vous connaissez les journalistes : à partir du moment où vous appelez une fois quelqu'un pour parler de piraterie, la prochaine fois, vous appellerez le même. Donc à partir d'un moment, Pascal Negre, c'est grosso modo la piraterie et la Star Academy....

LCI.fr : Vous avez tout de même un coté grande gueule, vous faites souvent des déclarations assez fracassantes....

P. N. : Pas fracassantes, je ne fais que dire que je ne crois pas au modèle unique de la gratuité. Bien sur, si vous regardez un clip sur M6 c'est gratuit, il y a une pub avant, mais je ne pense pas que c'est ce système-là qui financera l'ensemble de la production. Pour moi, Internet est une révolution formidable, à la fois pour détecter des talents et pour créer des buzz sur les artistes, c'est un outil de médiatisation et de marketing... Nous l'utilisons évidemment, et de plus en plus.

LCI.fr : Cela n'est jamais difficile d'être "détesté"par tant de gens?

P. N. : C'est vrai si vous tapez "Pascal Nègre" sur Google... Mais je m'en fous : si vous venez avec moi dans la rue, les gens sont très sympas. Et quand je vois des internautes qui disent "de toute façon, il ne vend que de la soupe", c'est tellement faux ! Si produire Bashung, Grand Corps Malade, Duffy, Amy Winehouse ou Portishead, c'est vendre de la soupe alors, dans ce cas, c'est la soupe que j'aime, que j'écoute et que je revendique... D'ailleurs, je ne cherche pas à "attaquer" les internautes. Je suis juste viscéralement convaincu qu'on doit défendre la création française parce qu'on a réussi avec les artistes quelque chose de magique. Avec le Japon, on est un des deux pays au monde ou la proportion des disques vendus par des artistes nationaux est la plus forte : 70% sont des disques de chanson française. De la techno au rap en passant par le R'n'B ou le rock, la nouvelle chanson française et même la Starac', il y a une vrai création française. C'est unique.

Une montre téléphone, baladeur, camescope, dictaphone, ...

Une montre téléphone, baladeur, camescope, dictaphone, ...
Encore une...
29 Mai 2008, par Cédric L.


Ce gadget proposé par le distributeur chinois Totobay a été baptisé C150. Il fait à la fois office de montre, de lecteur multimédia, de téléphone quadri-bande, de camescope et de bien d'autres choses encore. Pour les caractéristiques de l'objet, on retrouve un écran 1,4 pouces pour une résolution de 128x160, une mémoire de 64 Mo extensible via carte TF (jusque 2 Go), le Bluetooth, le port USB, une autonomie de 180 à 280 heures en veille et de 180 à 250 minutes en communication.

La montre reconnaît les formats MP3, Midi, 3GP et MP4. Elle fonctionne sur les bandes de fréquence GSM habituelles, peut envoyer SMS et MMS. Son appareil photo numérique 1,3 mégapixels peut filmer au format MP4 (avec son) jusqu'à 1280x960 de définition. Le modèle est aussi capable de vibrer, de lire des ebooks, d'enregistrer votre voix, il propose quelques jeux de réflexion et de nombreuses applications. La C150 est garanti un an et vendue à partir de 188 $.


[product]

Phone Model
C150
Network
GSM 850 / 900 / 1800 / 1900 MHz
Announced
2008, May
Status
Available
Available Language
English, Thai, Arabic, French, Russian, Simplified Chinese,
Dimensions
61.1*52.19mm
Display Type
TFT, 260K colors
Display Size
1.4 inch, 128×160 pixels
Ringtones Type

Polyphonic (64 channels)
Supprot mp3, midi of ringtone formats
Support MP3 background play, support equalizer, single loudspeakers with louder sound and good sound quality, also has the great stereo Bluetooth output effection
Video: Support 3GP / MP4 movie full screen play, support forward / pause
Phonebook
300 groups of phone books
Internal Memory
64M internal memory, support TF card up to 2G extended
Connectivity
GPRS
Card slot
YES
Messaging
SMS, MMS
Data transfer
U disk / USB cable / Bluetooth
Games
Intelligent Puzzle
Camera
1.3MP high-definition camera; image output size(max.): is 1280*960 pixels; support to shoot MP4 with sound, the time depends on storage
Additional Features
« iRiver LPlayer Hands-On iRiver Launches LPlayer at 95 Euros »

NDBJ : Comme pour la G108, la date de mon anniversaire est toujours disponible... smile (Quoique je ne vois pas avec cet ‘attaché-case’ au poignet.) smile

jeudi 29 mai 2008

Un pauvre gars paye 1632 dollars un Vista qu’il ne peut pas utiliser

Un pauvre gars paye 1632 dollars un Vista qu’il ne peut pas utiliser
Un responsable IT, qui a tenté d’acheter sa copie de Vista sur le site marchand de Microsoft Windows Live Marketplace, s’est retrouvé avec une facture de 1′632$ et un produit qu’il ne peut pas utiliser… et Microsoft ne semble pas vouloir le rembourser.
26 mai 2008, par Cyril Fussy


Bill, c’est son petit nom, a tapé en ligne ses informations personnelles et bancaires. Mais quand il a voulu cliquer sur “submit” un message lui a répondu que “Microsoft cannot be contacted at this time” et que “Please try again later.”

Même si Microsoft ne pouvait pas être joint à ce moment et que veuillez essayer plus tard, il a réessayé six fois de suite. Finalement, Microsoft a bien voulu prendre sa commande à la 7e tentative et le gars a pu acheter sa mise à jour de Windows Vista Ultimate.

Le lendemain matin il recevait un appel du département des fraudes de sa banque souhaitant l’informer qu’un certain Microsoft lui avait facturé 233,15$ sept fois de suite.

Pour aller de Charybde en Scylla, notre homme s’est retrouvé avec une mise à jour Windows Vista Ultimate inutile pour lui car ne pouvant pas l’utiliser.

Depuis plus de semaines, Bill tente d’appeler Microsoft quotidiennement qui ne lui fait que des promesses non tenues. Apparemment Microsoft ne s’intéresse pas du tout à lui rendre son argent, même s’il est à la rue ou si son frigo reste désespérément vide.

Bill en conclut: “étant responsable IT d’une grande Université, j’apporte beaucoup d’affaires à Microsoft mais je ressors extrêmement insatisfait de toute cette expérience. Je vais cherchez des solutions Unix/Linux alternatives.”

Un de gagné.

Un réseau national de jeunes "hackers" démantelé..

http://medias.francetv.fr/bibl/url_images/2008/05/28/image_15712762.jpg


Les pirates informatiques, âgés de 14 à 25 ans, sont soupçonnés de s'être introduits dans les sites de 34 sociétés
Au terme d'une enquête initiée en janvier dernier, un réseau national de jeunes pirates informatiques vient d'être démantelé, a annoncé mercredi le procureur de la République de Dijon. Les 22 jeunes gens, arrêtés dans plusieurs régions françaises, sont soupçonnés de s'être introduits dans les ordinateurs de sociétés françaises et étrangères.



Ils sont les "plus actifs" des quelques "200 pirates répertoriés sur un forum" qui leur servait à se communiquer leurs exploits, et sont particulièrement "passionnés et doués en informatique", a ajouté le procureur, Jean-Pierre Alacchi.

Les 22 jeunes arrêtés - parmi lesquels 16 mineurs - sont accusés de "s'être introduits frauduleusement dans les sites de 34 sociétés, en France mais aussi en Russie et en Islande, avec la volonté d'y créer des dommages", a précisé le magistrat.

Ces faits, reconnus par les intéressés, sont punis de peines de deux ans de prison et de 30 000 euros d'amende pour une simple intrusion, et de cinq ans de prison et d'une amende supérieure en cas de dégradations.

Selon le procureur, outre "la destruction complète de fichiers clients", certains "hackers" ont "inscrit de fausses données" et également commis des "escroqueries" en créant de "faux sites" leur permettant d'obtenir les coordonnées bancaires de personnes et de vider leurs comptes. Le préjudice global pour ces sociétés, dont sept ont porté plainte, n'a pas encore été évalué.

Cette affaire "met en lumière la vulnérabilité des sites informatiques de ces petites sociétés qui ne prennent pas de précautions suffisantes pour s'assurer de la fiabilité de leur hébergement", a souligné le colonel de gendarmerie Jean-François Doublier, patron de la section de recherches de la gendarmerie de Dijon, à l'origine du démantèlement du réseau.

Les 22 jeunes feront l'objet d'une convocation en justice début juin pour "intrusion frauduleuse dans des sites informatiques, groupement en vue de cette intrusion et entrave au fonctionnement de données informatiques". Leur procès devant le tribunal correctionnel de Dijon pourrait avoir lieu d'ici trois ou quatre mois, "car il faut une réponse rapide à ce type d'infractions à dimension ludique et qui causent d'importants préjudices économiques", a conclu Jean-Pierre Alacchi.

mardi 27 mai 2008

Animation Tux le killer

Tux le killer

Dans le bleu de tes yeux...
Korben le 26 mai 2008, par Korben


Voici une petite vidéo plutôt sympathique envoyée par Roultabie… Merci !


Hors ligne

Bientôt la fin du piratage de jeu vidéo sur PC ?

Nolan Bushnell, le fondateur d'Atari, indique que le piratage des logiciels sur PC ne sera bientôt plus qu'une histoire ancienne grâce au chiffrement TPM.
Zataz le 26-05-2008, par Damien Bancal

TPM, voilà une nouvelle bestiole numérique qui redonne le sourire aux éditeurs de jeux vidéo.

Ce chiffrement est produit par les nouvelles cartes mères d'ordinateurs PC équipés du dispositif adequate. Mission, chiffrer les données du jeu vidéo pour empêcher les pirates, mais aussi les amateurs de cheat-codes, trainers, ... d'avoir accès aux codes sources, dont aux protections diverses et variées qui sécurisent les logiciels.

Nolan Bushnell, le fondateur d'Atari indique que le TMP va mettre fin au warez logiciel. TMP produit des clés d’authentifications « incrackables ». A suivre ! (Impact)



Cf : La solution de cryptage TPM...

Une mère vend son bébé sur eBay

Son enfant lui est retiré à la suite de cette «plaisanterie»
25 mai 2008, E. C.

La semaine dernière, Tanja, une Bavaroise âgée de 23 ans, a placé une annonce sur eBay figurant la photo de son fils, Merlin, accompagnée de la mention: «Mon bébé - L'acheteur vient en prendre livraison - Presque neuf, à vendre parce que devenu un peu trop bruyant.» La mise à prix était de 1 euro.

Alertée par des internautes inquiets, la police est intervenue au domicile de la mère. L'annonce a été retirée du site deux heures et demie après sa mise en ligne sans qu'aucun enchérisseur n'ait contribué à cette vente sinistre. La jeune mère tente de se justifier en alléguant qu'elle souhait voir si quelqu'un se porterait acquéreur. Selon ses dires, il s'agirait d'une plaisanterie.


http://www.lebardeswareziens.net/doc5img/wtf2_zoom.jpg


Les services sociaux ont peu goûté cet humour douteux et ont pris Merlin en charge jusqu'à ce que les autorités se soient prononcées sur cette affaire. Selon la police, les deux parents pourraient être inculpés pour «traite d'enfant».


NDBJ : Payement via Paypal autorisé ? smile

Windows SE7EN confirmé pour 2010

Windows SE7EN confirmé pour 2010
Microsoft a confirmé que Windows 7 nous sera présenté “autour de 2010″ et semble avoir laissé échapper des captures d’écran dans la blogosphère.
26 mai 2008, par Cyril Fussy


Un porte-Microsoft a dit que la date de sortie du successeur de Windows Vista devrait être décidée dès que la qualité du morceau aura été jugée suffisante, pour changer.

Les versions client de Windows 7 seront disponibles à la fois en 32 bits et 64 bits. Une version serveur, au titre original et plein d’humour de Windows Server 7, serait également à l’étude.

La société est muette comme une tombe au sujet de Windows 7 au cas où nous serions trop nombreux à vouloir attendre 3 ans plutôt que de se lancer dans un Vista sans attrait. Il semblerait aussi que, cette fois, personne n’ait véritablement envie de faire des promesses intenables avec “Windoses c’est fun”.


http://www.lebardeswareziens.net/doc5img/windowsseven.jpg


Des captures d’écran des toutes premières versions semblent avoir touché Internet. Elles n’apprennent pas grand-chose sinon que Microsoft a vraiment commencé à pomper l’allure du bureau d’Apple.


Les espions volants de demain

Mauvais rêve ? Pas du tout !
25.05.08, par Catherine Vincent

Imaginez la scène. Allongé dans l'herbe par un bel après-midi d'été, vous savourez le spectacle d'un scarabée crapahutant paisiblement à portée de votre main. Sauf qu'à y regarder mieux, la bucolique créature présente quelques bizarreries. Au niveau des ailes, du dos, du cerveau, de petits fils électriques s'infiltrent sous sa carapace. Un objet métallique, deux fois gros comme sa tête, semble collé à l'arrière de celle-ci. L'insecte, vous le comprenez soudain, est un "cyborg" (diminutif de cyber organisme), fusion d'un être vivant et d'un équipement technologique. Un espion vivant, téléguidé par des implants reliés à son système nerveux.

Mauvais rêve ? Pas du tout. Le "Cyborg Beetle" existe bel et bien. Les chercheurs qui l'ont conçu à l'université du Michigan l'ont officiellement présenté durant la dernière conférence MEMS (Micro Electro Mechanical Systems), qui se tenait en janvier à Tucson (Arizona). Le coléoptère Dynastes tityus avait été doté : de trois électrodes, deux plongeant dans les muscles des ailes, la troisième dans le ganglion cérébral, à proximité des neurones contrôlant le vol ; d'un contrôleur électronique alimenté par une pile lithium-ion ; d'un stimulateur visuel composé de diodes électroluminescentes, placées grâce à un bras coudé devant les yeux de l'insecte afin de l'inciter à tourner vers la gauche ou vers la droite.

L'ensemble, pilotable à distance comme un modèle réduit, ne présente à l'heure actuelle qu'un défaut : sa taille - ou plutôt celle de sa technologie embarquée. Car le vrai cyborg-espion, en bonne logique, est celui qui ne se distingue pas d'un être normal. Et qui saura voler à cent mètres au-dessus de celui qui le contrôlera, et atterrir à moins de 5 mètres de sa cible... L'objectif, là encore, est loin d'être atteint : l'infortuné coléoptère, à ce jour, ne sait que voler en rond et en zigzag.

Il n'empêche : Cyborg Beetle existe. Et avec lui tout un bestiaire d'insectes robotisés, qui préfigurent les nouveaux espions que prépare dans ses laboratoires la recherche militaire. Car le scarabée n'est qu'un parmi les nombreux projets actuellement développés par l'Agence américaine pour les projets de recherche avancée de défense (Darpa), dans le cadre de son programme HI-MEMS (HI pour "Hybrid Insect").

Le but ultime : miniaturiser et internaliser dans un insecte volant la technologie nécessaire au parfait espion. Et fusionner ces "organes" électroniques avec ceux de l'animal en les insérant dès le stade de la chrysalide, de manière à ce que tissus biologiques et artificiels créent entre eux des connexions solides et stables. Une hybridation que l'on commence à maîtriser : à l'Institut Boyce Thompson d'Ithaca (Etat de New York), des sondes en plastique souple destinées à commander le vol ont été implantées dans des chrysalides de sphinx du tabac, une semaine avant la métamorphose des papillons. Lesquels sont nés avec leurs électrodes connectées sur le dos et les muscles des ailes, en parfait état de fonctionnement.


http://www.lebardeswareziens.net/doc5img/cyborg-beetle-microsystem.jpg



Une armée d'insectes transportera-t-elle un jour, à notre insu, caméras, poisons ou charges explosives ? Au-delà de cette perspective peu réjouissante, l'hybridation entre matières vivante et technologique pourrait bien, demain, concerner notre propre espèce.

A dire vrai, la transformation a déjà commencé. Pour ne prendre qu'un exemple : deux Américains gravement accidentés, Jesse Sullivan et Claudia Mitchell, sont équipés (depuis 2005 pour le premier, 2006 pour la seconde) de bras bioniques. Développée au Rehabilitation Institute de Chicago (RIC), leur prothèse est capable de capter les impulsions électromusculaires qui traduisent leur intention de mouvement, puis de transcrire ces contractions en commandes mécaniques. Donc, de transformer la pensée en gestes. Un bon exemple de ce que l'interface "cerveau-machine" sera capable de réaliser demain.

A quelle fin ? Selon la pensée "transhumaniste", très influente dans le monde anglo-saxon, les progrès de la technoscience doivent permettre l'amélioration de notre espèce même. Truffé de prothèses électroniques ou chimiques, branché en permanence sur des réseaux de contrôle sanitaire ou sécuritaire, l'homme futur, dans lequel des senseurs se substitueraient à nos sens et l'ordinateur à notre pensée autonome, marquerait ainsi une nouvelle étape de l'évolution : l'avènement du "Techno sapiens".

Un progrès par rapport à l'Homo sapiens ? Peut-être. Mais comment garantir que ce cyborg que nous deviendrons restera totalement maître des éléments qui composeront son corps "augmenté" ? Qui décidera du degré d'"amélioration" accordé à chacun ? Celle-ci sera-t-elle imposée dès l'enfance, voire dès la naissance ? Verra-t-on apparaître une société à deux vitesses, certains ayant les moyens de devenir cyborgs et d'autres non ?

"Au-delà du débat éthique que suscitent ces perspectives, une autre question non résolue concerne la plasticité du corps biologique, souligne Bernard Andrieu, professeur d'épistémologie du corps et des pratiques corporelles à l'université Henri-Poincaré de Nancy. Jusqu'à quel stade l'implantation d'éléments extérieurs dans un être vivant relève-t-elle de l'hybridation, à partir de quel stade devient-elle aliénation ? Autrement dit : quel est le degré d'adaptation du programme biologique au programme technologique ?" S'il situe dans un avenir lointain l'amélioration de nos capacités cérébrales les plus élaborées (calcul, pensée), cet expert considère comme acquise à court terme l'augmentation de nos capacités sensorielles.

"En 2020, avoir une caméra surpuissante à la place de l'oeil est tout à fait imaginable. De même pour l'ouïe et peut-être pour l'odorat", estime-t-il. D'abord élaborées pour ceux qui présentent un handicap sensoriel, ces prothèses internes surpassant la nature pourraient ensuite être convoitées par tout un chacun. La normalité d'aujourd'hui deviendra alors le handicap de demain, et l'oeil humain le plus performant une machine obsolète... Mais qui, pour ce corps technologiquement suréquipé, se chargera du service après-vente ?

La solution de cryptage TPM envahit les ordinateurs portables

En apportant une solution matérielle au cryptage, la puce TPM simplifie les opérations de chiffrement et accroît largement la sécurité. Revers de la médaille : attention à ce que ce type de technologie n'empiète pas sur les libertés fondamentales des utilisateurs.
27/03/2006, pPar Alain Kerhuel

Avec l'augmentation de la flotte d'ordinateurs portables et de terminaux mobiles, de plus en plus de données importantes pour l'entreprise sont disséminées géographiquement et échappent à tout contrôle. Cela pose des problèmes difficiles aux responsables de la sécurité. La seule solution envisageable actuellement consiste à crypter les données présentes sur les disques durs. Cette méthode logicielle est très sûre, mais elle souffre tout de même de quelques inconvénients. Tout d'abord, elle est lourde à gérer et, pour être efficaces, les logiciels doivent s'appuyer sur des mots de passe longs et complexes, d'autant plus difficiles à mémoriser qu'ils doivent être renouvelés régulièrement. Ensuite, l'intégration dans une politique générale de sécurité ou d'une architecture PKI est souvent difficile. Enfin, sur le long terme, personne ne peut prédire quel en sera le niveau de sécurité.

"Il faut savoir que, comme la puissance des ordinateurs augmente sans cesse, un cryptage aujourd'hui inviolable pourra peut-être être facilement cassé dans quelques années", déclare Claude Boucher, chef de produit chez Toshiba. Un autre problème est qu'en cas de vol du portable, il est possible de récupérer de nombreuses informations en réinstallant simplement un nouveau système d'exploitation. Les pirates peuvent aussi démonter le disque et l'installer sur une autre machine afin de tenter de casser plus facilement les fichiers. La clé est toujours inscrite quelque part sur le disque dur, de manière cryptée certes, mais elle est toujours lisible.


Un circuit spécialisé dans le cryptage des données

Pour tenter de résoudre ces problèmes, un consortium regroupant les plus grands noms de l'informatique s'est créé sous le nom de TCG (Trusted Computing Group). Celui-ci a défini un ensemble de plates-formes de sécurité qui ne sont plus uniquement basées sur des logiciels, mais sur des composants matériels. À la base de ces plates-formes, il y a une puce électronique appelée TPM (Trusted Platform Module) que l'on rencontre désormais dans de plus en plus d'ordinateurs portables tels que les Dell, HP, Toshiba, Panasonic et autres. Cette puce est un microcontrôleur qui comprend à l'intérieur du même circuit intégré, des moteurs de cryptage RSA et SHA-1, un générateur de nombres aléatoires, un générateur de clés, une mémoire de stockage non volatile, un processeur ainsi que le code du programme de gestion de cette puce. La puce TPM est pratiquement un ordinateur à elle seule, mais un ordinateur uniquement dédié au cryptage.


Une clé totalement inviolable

Le premier avantage est que la clé étant générée par cette puce (ce n'est pas obligatoire, mais recommandé) et, surtout, stockée dans sa mémoire, elle est totalement inviolable : seuls les utilisateurs authentifiés et les programmes associés à ceux-ci peuvent y avoir accès. Le deuxième avantage est que toutes les opérations de cryptage sont prises en charge par ce circuit, ce qui allège d'autant le travail du processeur. En effet, les algorithmes à clés publiques, comme le RSA, consomment bien plus de ressources que ceux à clés symétriques, DES ou AES. "Cela permet d'augmenter énormément la sécurité, d'autant que les algorithmes utilisés sont réputés incassables avec des moyens normaux. La partie processus est gérée par la puce elle-même et le fait que les clés soient stockées dans la puce est un gage de sécurité énorme", poursuit Claude Boucher.

Actuellement, la puce TPM est sous-exploitée. En effet, les systèmes tels que Windows XP n'ont pas été prévus nativement pour utiliser cette puce car elle est sortie bien plus tard. Pour l'heure, la puce TPM utilise une couche logicielle qui se superpose à Windows afin d'utiliser les fonctions de cryptage. En revanche, dans la future version du système d'exploitation Vista, un assistant permettra l'initialisation ou l'extinction de cette puce, la mise en marche ou non de certaines de ses fonctionnalités et, enfin, son association avec le propriétaire de l'ordinateur grâce à un mot de passe qui permettra l'authentification.


Vie privée : la face cachée de la TPM

Cela dit, cette technologie possède aussi un côté inquiétant. Il est, par exemple, possible - et certains y ont déjà songé ! - de l'associer aux systèmes de protection des droits DRM, aux mises à jour de pilotes ou encore à la surveillance du téléchargement, afin que seules les données autorisées puissent être stockées ou s'exécuter sur l'ordinateur. Il s'agirait alors d'une atteinte très grave aux libertés des utilisateurs. Assurons-nous donc que la TPM se limite bien au cryptage et à la sécurité des données et ne bascule pas au service des états ou des grands groupes industriels. "La plate-forme TPM a d'abord été créée pour le monde de l'entreprise, afin d'offrir un très haut niveau de sécurité et de confidentialité aux données car celles-ci peuvent représenter plusieurs milliers de fois la valeur du portable lui-même. Cela dit, le grand public commence à s'y intéresser aussi. Les utilisateurs ont souvent des données importantes à protéger, telles que leurs codes bancaires ou encore des données confidentielles qui concernent simplement leur vie privée", conclut Claude Boucher.

lundi 26 mai 2008

L’impact économique en France : critère de la compétence du tribunal français

L’impact économique en France : critère de la compétence du tribunal français
Dans deux ordonnances rendues le 16 mai 2008, le TGI de Paris a tranché en faveur de la compétence du juge français en matière de contrefaçon de marque sur internet, se basant sur le fait que les faits incriminés sont susceptibles d’avoir un impact économique sur le public français.
Legalis 23/05/08


Dans la première affaire qui oppose des sociétés de parfums à eBay, le site de ventes aux enchères avait invoqué l’incompétence du tribunal français pour statuer sur des liens commerciaux qui ne visaient pas le public français. La 2ème section de la 3ème chambre du tribunal n’a pas retenu cet argument en estimant que « les sites eBay sont accessibles aux internautes depuis le territoire national ». Et dès lors que des faits sont « susceptibles d’avoir un impact économique sur le public français », les défenderesses peuvent introduire une action devant le TGI de Paris.

Cette section du tribunal suit le même raisonnement dans l’affaire opposant le site Rueducommerce à Carrefour Belgium. Il est notamment reproché à cette dernière d’avoir utilisé la marque Rueducommerce sur son site hypercarrefour.be et d’avoir diffusé des publicités sur Google renvoyant aux sites de l’enseigne belge. En plus de reprendre l’argument portant sur les conséquences économiques, cette seconde ordonnance du juge de la mise en l’état précise « qu’il importe peu à ce stade de savoir si un internaute peut procéder à l’achat, depuis la France, de produits proposés à la vente par l’intermédiaire des dénominations litigieuses ».

Le TGI adopte une interprétation large du règlement CE du 22 décembre 2000 sur la compétence judiciaire qui prévoit notamment la compétence du tribunal du lieu où le fait dommageable s’est produit ou risque de se produire. Il va dans le sens de la Cour de cassation qui, le 9 décembre 2003, avait retenu le seul critère de l’accessibilité en France du site étranger, même sans recherche active de l’internaute. Dans un arrêt du 26 avril 2006, la cour d’appel de Paris n’a cependant pas suivi cette vision pouvait conduire à une « omni-compétence » des juridictions françaises. Elle avait prévu la nécessité de caractériser « un lien suffisant, substantiel ou significatif, entre ces faits ou actes et le dommage allégué ».

Christine Kelly récupère son nom de domaine grâce à une requête en revendication

Christine Kelly récupère son nom de domaine grâce à une requête en revendication
La journaliste de LCI, Christine Kelly, a utilisé une procédure peu commune pour récupérer un nom de domaine : la requête en revendication fondée sur l’article L 624-9 du code de commerce.
Legalis 15/05/08


Celle-ci s’inscrit dans le cadre d’une liquidation judiciaire. En effet, lors de l’ouverture d’une procédure collective, les détenteurs de biens mobiliers (équipements, fonds de commerce, logiciels, etc.) ont la possibilité de revendiquer leur propriété dans des conditions précises de forme et de délai, faute de quoi ces biens tombent dans l’actif de la société en liquidation.

Dans cette affaire, la société Kapado qui avait enregistré christine-kelly.fr en son nom alors qu’elle devait le faire pour le compte de la présentatrice a justement été mise en liquidation judiciaire. Avant la procédure collective, la journaliste avait pourtant entrepris des démarches pour récupérer son identité sur internet. Mais Kapado, qui a reconnu avoir commis une erreur, n’avait pas montré une ferme volonté de la corriger. Face à son inertie et sa négligence, Christine Kelly l’a mise en demeure de remplir un formulaire Afnic pour un transfert volontaire du nom de domaine. Kapado s’est engagée à le faire mais le transfert n’a pas été opéré. Les pourparlers se poursuivent cependant jusqu’au moment où la présentatrice découvre que la société qui détient son nom de domaine est en liquidation judiciaire. Comme le liquidateur refuse d’autoriser le transfert, Christine Kelly se tourne vers le juge.
Dans une décision du 4 avril 2008, le tribunal de commerce de Pontoise a ordonné le transfert du nom de domaine christine-kelly.fr à la présentatrice dont il juge la revendication bien fondée. Selon le tribunal consulaire, « seule Christine Kelly peut être propriétaire du nom de domaine christine-kelly.fr, dont elle revendique la propriété ».

M6 rend tous ses programmes TV disponibles gratuitement sur Internet

M6 rend tous ses programmes TV disponibles gratuitement sur Internet
Vous n'aurez bientôt plus besoin d'aller à la chasse aux vidéos pirates sur Dailymotion pour voir les dernières casseroles ou exploits des candidats de La Nouvelle Star.
14 Mars 2008 Numerama


M6 a confirmé vendredi le lancement pour le mercredi 19 mars prochain de M6 Replay, son service de Catch-Up TV qui permettra de regarder directement sur Internet les programmes diffusés par la chaîne. Le service sera décliné sur les box ADSL et les téléphones mobiles dans un deuxième temps, et pourrait être étendu à la chaîne W9.

Contrairement à Canal Plus qui limite son service aux utilisateurs de Windows et le rend désagréable à utiliser à cause des DRM Windows Media, le groupe M6 a eu la bonne idée de faire confiance aux internautes et d'utiliser le format Flash, désormais universel dans la diffusion vidéo sur Internet. Les programmes seront accessibles "en général" dès une heure après leur diffusion à l'antenne, et resteront visibles gratuitement pendant sept jours.

"Le lancement de ce nouveau service, totalement inédit pour une grande chaîne française, est un moment important, estime Nicolas de Tavernost, le Président du Directoire du groupe M6. Il marque la volonté du groupe de suivre et de répondre aux nouvelles façons de consommer la télévision et constitue l’évolution naturelle de nos chaînes. Il démontre également nos ambitions sur Internet".

Lors du 19 mars, 95 % de la grille 18-24h, soit plus de 200 programmes, seront disponibles en ligne. Ils seront classés en quatre catégories :

* les séries (toutes les fictions françaises et étrangères diffusées sur la chaîne),
* les magazines (Zone Interdite, Capital, 66 minutes, D&CO, Un dîner presque parfait…),
* les rendez-vous d’info (Le 1250, le 6’)
* les divertissements (Nouvelle Star, Pékin Express…).


Les nanotubes de carbone soupçonnés d’être encore plus nocifs pour la santé que l’amiante

Une étude est arrivée à la conclusion alarmante que, si inhalés en grandes quantités, les nanotubes de carbone pourraient s’avérer encore plus dangereux que les asbestos (poussières d’amiante).
24 mai 2008, par Cyril Fussy

Si vous êtes nombreux à vous dire “mais qui va se mettre à renifler des nanotubes de carbone?”, le problème est qu’on commence à les trouver partout, des circuits électriques aux micro-processeurs, en passant par certains produits pharmaceutiques et même des crèmes du visage, de par leur extraordinaire résistance et leurs propriétés électriques.

Un article du magazine Nature sur les nanotechnologies publié cette semaine, met en avant des recherches sur des souris exposées à des nanotubes, qui seraient arrivées à la conclusion que certains nanotubes peuvent provoquer des mésothéliomes, des tumeurs qui affectent les poumons (ou la plèvre, de la même manière qu’une exposition à l’amiante).

Tout comme dans le cas de l’amiante, les nanotubes sont très fins et un cancer peut mettre de 30 à 40 ans pour se manifester.

Le Dr. Andrew Maynard, responsable et consultant du projet Project on Emerging Nanotechnologies, qui a co-écrit le rapport, a remarqué que les gens avaient “très peu d’informations sur les types de nanotubes de carbone trouvés dans les produits”. Il fait également remarquer que les nanotubes de carbone existent en de nombreuses variétés de formes et de tailles, chacun avec leur particularité chimique propre.

Puis il s’alarme: “nous ne savons pas si les nanotubes du marché sont sûrs ou potentiellement dangereux, ni même si ces nanotubes peuvent s’extirper des produits”. Le marché des nanotubes se chiffre en milliards de dollars et représente une part essentielle de l’industrie moderne des technologies. “La communauté des affaires doit rapidement comprendre comment prendre ce problème en charge et s’assurer que leurs produits sont sûrs”, suggère le scientifique.

dimanche 25 mai 2008

Sortie de la version finale de Google Earth 4

Sortie de la version finale de Google Earth 4
Le géant américain a officiellement mis à disposition des utilisateurs du monde entier la version finale du logiciel permettant une visualisation de la terre avec un assemblage de photographies aériennes ou satellitaires.
15/01/2007 à 08:01 par MemoClic


C'est fait, Google Earth 4 a quitté son appellation de bêta pour céder la place à la mouture finale. Peu de véritables changements sont à recenser pour les utilisateurs habitués mais quelques nouveautés méritent tout de même d'être soulignées :
L'affichage 3D du relief et des bâtiments est l'une des caractéristiques les plus attrayantes de Google Earth. La qualité des données de relief a été améliorée pour de nombreuses régions montagneuses. Par ailleurs, les bâtiments 3D sont "texturés", ce qui signifie que la brique a vraiment l'aspect de la brique, le verre ressemble vraiment au verre... En clair, l'image est beaucoup plus fidèle à la réalité.
Des millions d'utilisateurs de Google Earth ajoutent et partagent des informations géographiques en utilisant le format de fichier Google Earth (.KML). Dans Google Earth 4, cette fonctionnalité a été renforcée. Vous pouvez maintenant afficher des photos de voyage, des sentiers de randonnée transférés à partir de votre GPS, des superpositions d'image de votre cru ou des datasets géographiques volumineux. Vous pouvez même horodater les données pour créer des animations retraçant l'évolution d'un lieu au fil du temps.
Les infos pratiques sont plus visibles afin qu'il soit plus facile de les trouver et de les activer/désactiver. La boussole de navigation se trouve maintenant dans le coin supérieur droit de l'écran (ce qui libère de l'espace). Les outils de mesure, d'impression, d'e-mail et de dessin sont intégrés à la nouvelle barre d'outils en haut.
Grâce aux outils de dessin Ajouter un polygone et Ajouter un trajet, vous pouvez facilement tracer des figures par-dessus vos images pour créer des annotations plus complètes, puis partager ces superpositions sous forme de fichiers KML ou KMZ. Ces captures d'écran sont des exemples d'annotations créées à l'aide des outils de dessin dans Google Earth.
Bon voyage...


Rencontre avec un couple de pirates

Rencontre avec un couple de pirates
Dimanche, banlieue de Lille. Une braderie comme il en existe des centaines chez les Ch'tis. Bob et Bobette ont un stand avec une petite table grise et des dizaines de DVD... pirates vendus 3 euros.
Zataz le 23-05-2008, par Damien Bancal


Bon et Bobette (deux pseudonymes, NDR) sont en couple depuis plusieurs années. Deux habitants de la banlieue de Lille qui écume toutes les braderies possibles et imaginables. Ils ne sont pas les rois des chineurs, encore moins des amateurs d'objets rares. Le couple est plutôt du genre à faire du commerce. Derrière leur petit table, les deux "bradeurs" céquipé d'un lecteur de DVD portable, plusieurs gros sacs remplis de pochettes qui semblent contenir des dizaines de DVD. Rapidement, nous allons découvrir qu'ils vendent ce que d'autres ont piraté.

"Le P2P, de la merde, confiait Bob, à la question sur la provenance de ses produits, Je préfère me rendre sur des sites comme Mini Nova, le top, y a tout, vite, bien et sans danger". Sans danger ? Pourquoi, les produits commercialisaient par Bob et Bobette, 3 euros, auraient été capable de nous nuire ? "Non, rigolait Bobette, Nous faisons un travail sans reproche. Pochette, bon support et nous sommes rapides". Rapide ? C'est effectivement le terme approprié. Pour avoir regardé "travailler" le couple sur 20 minutes de temps, il vendait un DVD toutes les 23 secondes. Armés d'un catalogue, ils proposaient toutes les dernières nouveautés cinématographiques : Cam, DivX, TC, ... "Nous notons la qualité du film sur nos pochettes, indiquait Bobette, et pour vous assurer de la qualité, on vous montre le film en direct".

De vrais bateleurs. Un "client" jette son dévolu sur Iron Man "Seul petit défaut, surenchérissait Bob à son acheteur, Un bras qui apparait de temps en temps à gauche de l'écran". Pas de problème, affaire faite en 17 secondes. Un enfant aperçoit le Divx de Horton "C'est le DVD, aucun défaut". Papa est rassuré, 12 secondes. Bienvenue chez les Ch'tis (DVD), le top des ventes de cette matinée qui semblait être très ordinaire pour ces pirates qui ne l'étaient pas moins.

Copier plus, pour gagner plus !

Un business qui rapporte ? "Nous travaillons beaucoup, confirmait à demi-mot Bob, Je préfère faire ça que de braquer une petite vieille dans la rue". La comparaison a de quoi inquiéter. Du côté du CA, un chiffre d'affaire, au black, que nous avons estimé à 2.800 euros pour une matinée. (52 DVD à 3 euros en 20 minutes, soit 156 par heure. CA estimé sur une demi-journée de marché aux puces - 6 heures : 2.808 euros). Peur de la police ? De la riposte graduée ? "La quoi, s'étonnait Bobette, jamais entendu parler".


http://www.zataz.com/images/images_news/news/19407231544836944915e47.jpg


Pour rappel, les organisateurs de braderie et marché aux puces sont responsables des exposants et des produits que ces derniers commercialisent. La contrefaçon et le recel de contrefaçon sont punis par la loi. Les amendes peuvent atteindre, sur le papier, 350.000 euros d'amende, sans parler du remboursement des produits copiés aux prix du neuf, ...

samedi 24 mai 2008

La folie des mini PC portables: six modèles disponibles d’ici septembre

La folie des mini PC portables: six modèles disponibles d’ici septembre
Difficile d’y voir clair parmi tous les mini PC portables qui émergent sur le marché. La rédaction vous propose un récapitulatif en images des 6 machines qui vont être commercialisées sur le marché français d’ici la rentrée, en attendant d’autres nouveautés en provenance du top 3 mondial : HP, Dell, Acer.
23 mai 2008, par Muriel Drouineau


Asus Eee PC 900


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Disponible à partir du 28 mai à 399 euros (en deux versions, Linux ou Windows XP), le nouveau mini portable d’Asus, le Eee PC 900, a l’avantage du pionnier. Il bénéficie de l’aura de la première génération (l’Eee PC 701) tout en proposant des améliorations très utiles, essentiellement en augmentant sa surface d’affichage. On passe en effet d’un écran de 7 pouces à 8,9 pouces de diagonale. Ce mini portable reste de loin la meilleure "petite" machine d’appoint, séduisante et efficace (la version Linux Xandros), que l’on a testée jusqu’à présent.

Reste à savoir si SFR, qui a prévu de le commercialiser en juin, maintiendra ses tarifs, pour la vente de l’Eee PC et d’une clé USB 3G+ : 299 euros, avec forfait illimité de 29,90 euros/mois (24 mois d’engagement).

Lire test complet de l’Eee PC 900.


The Phone House Airis Kira 740


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Déjà disponible depuis mi-mai en exclusivité dans les enseignes The Phone House, ce mini portable fonctionnant sous Windows XP a du mal à soutenir la comparaison, ne serait-ce qu’avec l’Eee PC 701 dont il s’inspire directement. Outre sa surface d’affichage trop étriquée, il se révèle trop épais, assez poussif sous Windows XP et moins agréable à utiliser que son concurrent. Seul point fort, son autonomie de 4 heures et demi, pratique pour les déplacements.

Seul, le Kira 740 coûte 349 euros et à partir de 199 euros, moyennant un forfait clé 3G+ auprès d’un des trois principaux opérateurs. The Phone House a assuré que l’Airis Kira 740 pourrait être proposé à 99 euros à partir de juin, avec une clé 3G+…

Lire test complet de l’Airis Kira 740


Surcouf Mobile PC


http://www.zdnet.fr/zdnet/i/edit/39381265/mini-portable-03.jpg


Décidément, les enseignes de distribution, spécialisées ou pas, ont visiblement envie de surfer sur le succès des Eee PC. C’est le cas aussi de Surcouf, qui, non content de distribuer l’Eee PC, propose également sa propre machine ultra mobile. Ce portable très léger de 800 g intègre un écran de 7 pouces et fonctionne avec Windows XP édition familiale.

Il se distingue par son écran tactile, une baie modulaire à côté de son écran, pouvant accueillir au choix un accessoire optionnel : webcam, téléphone VoIP (Bluetooth), module GPS, tuner TNT…Le Mobile PC coûte 399,33 euros (en deux couleurs : métallisé à partir de mai et blanc à partir de juin) et chaque accessoire 49 euros.

Lire article complet sur le Mobile PC by Surcouf.


Medion Akoya Mini E1210


http://www.zdnet.fr/zdnet/i/edit/39381265/mini-portable-04.jpg


Prévu pour fin août en France à 399 euros (en noir ou blanc), ce modèle de 1,2 kg propose un écran de 10 pouces, et devrait intégrer un processeur Atom d’Intel. Sur le papier, son équipement semble très correct, mais cette machine ne révolutionne pas le genre.

Seule la petite batterie 3 cellules fait craindre une autonomie très réduite, sous Windows XP Edition Familiale. Reste à a savoir dans quelle mesure le nouveau processeur Intel permet de compenser cette faiblesse.

Lire article complet sur le Medion Akoya E1210


Emtec Gdium


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Prévu pour une commercialisation début septembre aux environs de 400 euros, le Gdium d’Emtec est une des rares machines à faire montre d’originalité. Ce portable 10 pouces de 1,1 kg fonctionne avec une version spécifique de Linux Mandriva.

Le Gdium se distingue de la concurrence, car dénué de mémoire interne, il fonctionne avec une clé USB contenant le système d’exploitation et les fichiers. Cette approche permet d’envisager une utilisation de la machine à plusieurs, chacun détenant sa clé USB et son espace personnalisé.

Lire article complet sur le Gdium


MSI Wind U100


http://www.zdnet.fr/zdnet/i/edit/39381265/mini-portable-06.jpg


La première version du Wind (U100) de MSI doit sortir le 21 juin pour 399 euros, dans une configuration proche de celle proposée par Medion. Cette machine, fonctionnant sous Windows XP, dispose d’un écran 10,2 pouces, de 1 Go de mémoire vive, d’un disque dur 80 Go ainsi que les connectivités WiFi (802.11b/g) et Bluetooth 2.0. Le processeur embarqué sera sans doute un Atom d’Intel. Plus d’informations concernant cette machine à la mi-juin.

Par la suite, MSI proposera différentes configurations à la carte: écrans de 8 à 10,2 pouces, processeurs de 1 Ghz à 1,6 Ghz, 1 à 2 Go de RAM, disque dur 80 Go ou disque SSD, système d’exploitation Linux ou Windows. Trois coloris seront également disponibles au choix : bleu, blanc et rose. Quant aux prix, ils devraient osciller, selon la configuration, entre 299 et 699 euros.



NDBJ : Récapitulatif sommaire bien utile !

Free cherche freenautes pour tester nouveau webmail

Free cherche freenautes pour tester nouveau webmail
Le FAI Free est en quête de 50 000 freenautes volontaires afin de tester le futur de son webmail sous gouverne de Zimbra.
23/05/2008, par Jérôme G.


Free continue de s’occuper de son webmail en tentant de le moderniser, histoire de le rendre plus agréable à l’utilisation pour ses 3,04 millions d’abonnés qui peuvent y avoir recours, voire d’autres internautes qui sont partis sous d’autres cieux après un passage chez la filiale d’Iliad. Free avait ainsi déjà essayé un nouveau service de messagerie en ligne basé sur le projet RoundCube en remplacement de Horde, et expérimente désormais Zimbra. On reste donc dans les projets libres.

Comme nous en informe LeJournalDuFreenaute, l’heure de l’expérimentation à grande échelle a sonné pour Zimbra et Free a besoin de recruter 50 000 nouveaux volontaires. La migration du webmail de Free est ainsi proposée (pour certains) depuis l’interface de gestion de compte (gestion de mes comptes emails).

Avec une interface empreinte de technologie AJAX, Zimbra autorise par exemple le glisser-déposer. Il est doté d’un carnet d’adresses, d’un agenda ou encore d’un gestionnaire de tâches et se révèle finalement assez proche de Yahoo! Mail. Peut-être pas un hasard, puisque fin 2007, Zimbra est tombé dans le giron de la firme de Sunnyvale.

vendredi 23 mai 2008

Le criminel anglais dévoile ses méfaits sur YouTube

Le criminel anglais dévoile ses méfaits sur YouTube
Gentleman cambrioleur, cinéaste amateur ?
22 mai 2008, par Nicolas.G


« Il doit être dans la course pour le titre de criminel le plus navrant de Leeds », déclare Les Carter, conseiller de la ville. « Il nous a apporté les preuves sur un plateau », ajoute-t-il.

Voilà pourtant une récompense rarement attribuée à un monte-en-l'air, mais que s'est vu remettre un sujet de Sa Majesté après avoir mis en ligne sur YouTube plus de 80 vidéos qui le mettaient en scène lors de larcins divers qu'il commettait.

Criminel reporter

Andrew Kellett, âgé de 23 ans fut d'ailleurs découvert par les autorités grâce aux vidéos. Sous le pseudo mrchimp2007 il se vantait de ses délits, chose que le Tribunal de Leeds lui a désormais interdite pour un mois. En effet, il tombe sous le coup d'une condamnation qui lui interdit de publier des images et, moins encore, des vidéos de ses exploits.

Ces derniers consistaient en des films où il consomme des drogues passablement dures et illicites, fait la course en voiture avec ses amis, injurie à tour de bras ou encore s'introduit par effraction dans des propriétés privées. L'une d'entre elles, sûrement la plus provocatrice, est tournée lors d'une audience au tribunal de Leeds, alors qu'il écopa d'une peine avec sursis, suite à ses tribulations.

Il a été officiellement reconnu coupable de conduite dangereuse, non-respect de la signalisation. Une audience plus complète se tiendra le 15 juillet prochain, et pourrait le condamner à de la prison ferme. Mais Andrew ne s'est pas démonté : l'empêcher de publier des vidéos sur Internet est, selon lui, une atteinte à sa liberté d'expression.

Pour l'heure, les vidéos en question sont encore disponibles sur la plateforme...

Nouvelles fuites de données grace à un fichier PDF

Nouvelles fuites de données grace à un fichier PDF
Un document au format PDF, appartenant au FBI, révéle des petits secrets que les agents pensaient avoir effacé.
Zatazle 22-05-2008, par Damien Bancal


Matt Blaze, un professeur de l’université de Pennsylvanie, a mis la main sur quelques informations sensibles que le FBI pensait avoir caché dans un document PDF.

Ce fichier, diffusé par le Département américain de la Justice, concernait les commutateurs des compagnies de télécommunication américaines (AT&T, ...). Un document très sérieux traitant des nouvelles réglementations sur les écoutes imposées par le Communications Assistance to Law Enforcement Act (Calea), un petit bijou de loi qui permet au FBI, mais aussi aux autres agences de sécurité d'écouter tout ce qui bouge sans même qu'un juge puisse en donner un quelquonque feu vert. Il suffitisait d'afficher le PDF sur son écran, de cliquer en même temps sur les touches CTRL et C (copier), CTRL et V (coller) dans un bloc note et le tour était joué. Les « Sensitive information redacted » n'étaient plus protégées.

Ce document, publié en ligne au format .pdf, contenait des tableaux qui détaillaient le coût des opérations d'écoute du FBI. Un PDF qui a été corrigé depuis sur le site du DoJ.



Des erreurs qui sont assez courantes dans les administrations. En mai 2005, un rapport du DoD, Departement of Defense, affichait les noms et grades des soldats ayant étaient mis en cause à la suite du décès d'un agent secret Italien (LIRE).

Mais le format PDF d'ADOBE n'est pas le seul à garder des informations qui peuvent rapidement devenir embarrassante. Toujours chez ADOBE, le logiciel Photoshop avait piégé une présentatrice de la chaîne TechTV. Alors qu'elle venait de poster quelques gros plans de son visage, il a été découvert que Photoshop avait gardé en mémoire d'autres informations de la dame... des poses légèrement vêtue, voir pas vêtue du tout avec une étrange cigarette à la main. Le genre de clope qui fait rire ! (LIRE)

Les documents Word, Excel, ... ne sont pas en reste. En 2003, le Gouvernement Britannique était pris en flagrant délit de mensonge au sujet de la guerre en Irak. Un document Word prouvait que le rapport annonçant des armes de destructions massives n'était qu'un document réalisé par un étudiant pour sa thèse. (LIRE)

En 2004, le Premier ministre du Danemark, Anders Fogh Rasmussen, se faisait piéger par un document Word, et ses MetaDatas, qui démontrait que le discourt du Ministre avait été écrit par quelqu'un d'autre. (LIRE). 365 jours plus tard, Microsoft diffusait un outil permettant de vider les MetaDatas gardées par Word, Excel, PowerPoint.

Avril 2008, nous vous révélions (LIRE) comment un document Excel de l'armée américaine avait été diffusé avec des données sensibles cachés dans des fenêtres que l'auteur avait oublié d'effacer. En France, la dernière boulette de ce genre date du mois d'octobre dernier. Le journal LIBERATION diffusait en ligne le PDF du jugement du chanteur Bertrand Cantat, le chanteur de Noir désir. Les informations sensibles sensées avoir été cachées, ne l'étaient pas du tout.

Avril 2008, nous vous révélions (LIRE) comment un document Excel de l'armée américaine avait été diffusé avec des données sensibles cachés dans des fenêtres que l'auteur avait oublié d'effacer. En France, la dernière boulette de ce genre date du mois d'octobre dernier. Le journal LIBERATION diffusait en ligne le PDF du jugement du chanteur Bertrand Cantat, le chanteur de Noir désir. Les informations sensibles sensées avoir été cachées, ne l'étaient pas du tout. (VOIR)




Le fameux pdf :

Back From Black
The full text of the filing. The areas where the text of the brief was blacked out are highlighted. (pdf)